Les Kiddoz

 
 
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Christmas wish list.

La semaine dernière on s’interrogeait sur la manière d’élever un petit garçon quand on est féministe ? On abordait notamment la question des jouets genrés… Et parce que chez Pueblo on a de la suite dans les idées, cette semaine on va vous parler de cette super nouvelle marque qui propose des figurines « too cool for school » pour les garçons et les filles de tous les âges : Les Kiddoz !

Attention car ce ne sont pas des jouets comme les autres, ils ont une véritable identité, des caractères, des affinités, auxquels tout le monde peut s’identifier. A l’instar des Punky Brewster et Drazic d’Hartley Coeur à vif qui ont bercés toute une génération, le pouvoir de ces symboles, c’est qu’on voudrait tellement intégrer leur bande !

Mais ne vous méprenez pas car Zoé, Mia, Punky, Bonnie et Max sont articulés, aimantés et mesurent 16 cm. Alors à défaut de vous en faire des potes, vous pouvez les adopter ! Ils arriveront chez vous dans des boites qu’il vous sera impossible de jeter tellement elles sont jolies, et flanqués d’une multitude d’accessoires. Chaque figurine est une édition limitée tirée en 2000 exemplaires, la belle aubaine pour les collectionneurs et autres fétichistes de poupées ! 

Vous cherchez une alternative à la poupée blonde à la plastique parfaite, modélisée sur Arielle Dombasle ? Ne cherchez plus !!!

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A la rencontre de leur créatrice visionnaire : Anna.

Bonjour Anna ! Comment t’es venue l’idée de créer la bande des kiddoz ? 

C’est en regardant des enfants jouer que j’ai eu cette idée. Mon fils avait dix ans à l’époque, et il avait des copines qui venaient l’après-midi chez nous.

Les garçons passaient leur temps à jouer avec leurs figurines super-héros, et les filles jouaient avec eux, mais pas du tout de la même manière. Elles faisaient jouer les figurines comme dans la vie de tous les jours (wonder woman allait au lycée, cat woman jouait à chat avec hulk, etc…)

J’ai voulu penser à un jouet (de projection, parce que c’est important !) qui permettrait aux filles et aux garçons de jouer ensemble. 

Le format super-héros était génial, super-maniable, et ces figurines n’étaient pas uniquement (contrairement à la plupart des figurines “filles”) destinées à être coiffées ou habillées…

Pourquoi ce design californien, cool ?

Il fallait un jouet qui représente des jeunes de tous les jours, dans leurs activités !

Et comme l’a justement pointé Brain Magazine dans un article sur Les Kiddoz, c’est vrai que le char à voile de Fort Mahon, c’est moins sexy, en tout cas comme argument de vente…

Je les voulais modernes avec des chaussettes hautes, des cheveux bicolores, des skates, des tatouages, des jeans un peu élimés, un peu troués, des tee-shirts imprimés, une guitare gravée… 

De là sont nés Les Kiddoz, skaters, rollerskaters, musicien.ne.s !

Comme l’a très bien décrit un jour une youtubeuse, ce sont simplement des jeunes qui vaquent à leurs occupations, à leurs hobbies.

Pour les distinguer, je voulais que mes figurines aient un petit truc en plus. J’ai eu l’idée des aimants ; ça permet aux accessoires de s’accrocher sur les figurines (d’où leur intérêt pour les sports de glisse), ou d’être facilement mis en scène sur une surface métallique…

En quoi Les Kiddoz peuvent se vanter d’être un jouet pour les filles et les garçons ?

Certainement par leur aspect “girls (& boys) next door”. On reproche souvent aux poupées de donner une image trop lisse aux filles, trop parfaite, ce qu’on a essayé de ne pas reproduire. Mais on a aussi pensé aux garçons qui passent leur temps à jouer avec des petits jouets aux tonnes de muscles. Je n’ai rien contre cette projection, mais il me semblait important qu’ils aient aussi des figurines normales. J’ai su que j’avais vu juste quand j’ai entendu un jour un petit garçon réclamer un Kiddoz dans un magasin “parce qu’il est comme moi”…

Je pensais naïvement que les filles allaient acheter les filles et les garçons, le garçon. J’ai été surprise de constater que beaucoup de petits garçons veulent les filles !

Le pari est réussi puisque souvent des parents me disent que leurs enfants jouent ensemble… Ça traverse les sexes et les âges!

Un autre aspect inattendu, c’est qu’énormément de jeunes adultes & adultes achètent des Kiddoz. Contrairement aux enfants, ils les gardent dans la boîte.

Étant donné qu’on a mis un temps fou à faire le design de ces boîtes ça m’a fait plutôt plaisir!…

Qu’est ce qui t’as donné envie de te lancer dans cette aventure ? Quelle est ton parcours ?

Je me souviens que petite je passais des heures à créer des personnages en pâte à modeler. Des jours, des semaines, des mois. Je pouvais y passer huit heures de suite. Puis j’en ai fabriqué articulés, en fimo. 

J’ai travaillé à l’opéra, j’ai sculpté des masques géants. J’ai travaillé pour la télé, j’élaborais des marionnettes. Plus tard, j’ai fait de la sculpture, et des personnages taille réelle cette fois… Il faut croire que je suis obsédée par la représentation de personnages… !

J’ai d’ailleurs douze mille dessins, croquis et fichiers illustrators pour la future gamme.

C’est donc des éditions limitées, est ce que tu peux nous dévoiler un peu la suite ? On a hâte de voir la bande s’agrandir !

L’édition est limitée à deux mille figurines par personnage. Mais si jamais l’une d’entre elle est rééditée (ce sera peut être le cas de Zoé qui cartonne), il sera écrit sur la boîte « deuxième série » des « Seaside Rockers », ce qui voudra dire seconde édition du même personnage qui sera légèrement différent.

Il y aura certainement encore quelques personnages de la série « Seaside Rockers », (chanteuse, guitariste, surfeurs !) puis on passera à une nouvelle série. L’idée étant de continuer à développer la marque, et les Seaside Rockers de la première édition doivent rester en édition limitée.

J’aimerais aussi faire, plus tard, des collaborations avec des personnes existantes, par exemple des skateuses qui assurent…! 

Le projet a mis pas mal de temps à se concrétiser. D’abord parce que je n’étais pas familière avec les moyennes productions, étant plutôt habituée aux pièces uniques. 

Ensuite parce que je voulais qu’elles soient parfaites. Je voulais que les enfants (ou les grands enfants !), en ouvrant le paquet, soient heureux de ce qu’ils découvrent, je tenais à ce qu’elles soient encore mieux qu’elles en aient l’air. Parce que je me souviens de mon propre plaisir ou de ma déception en ouvrant des boîtes de jouet, enfant ! Et quelle joie quand on découvre un détail… La texture du jouet… Sa mobilité, etc…

En plus je me suis découvert une personnalité control freak pendant ce projet. Je me suis vue vérifier chaque personnage que j’envoyais, aussi bien aux particuliers qu’aux magasins. Je vérifie que les aimants soient dans le bon sens, qu’il n’y ait aucun défaut.

Merci beaucoup Anna, c’est Noël avant Noël ! On te souhaite le succès d’un Geppetto ou d’un Walter Elias Disney !

Les Kiddoz

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Meet Zoé, Punky, Mia, Bonnie & Max

Zoé, c’est une surfeuse inspirée du lifestyle californien des années 70/80. Elle ressemble un peu à Farah Fawcett. La toute première Kiddoz à avoir vu le jour. Elle fait du roller, du skate, elle a des chaussettes montantes. Elle a un mini-short et son prénom inscrit sur son top blanc. Elle adore la BD, Roy Lichtenstein et skater avec sa bande pas loin de la plage, d’où ils iront voir le soleil se coucher. Elle écoute sa musique à fond dans son casque quand elle fait du roller. Elle aime la chaleur du soleil. Elle aime la sensation de la glisse. Elle est cool, tout le monde l’aime. Son frère Max le BG fait craquer toutes ses copines!

Son lieu de prédilection ? Venice beach évidemment ! Le bitume devant la plage, le skate parc. Yolo !

La seconde Kiddoz of all times est Punky. Punky, elle, est surtout achetée par des adultes ! Est ce parce qu’elle a plein de tatouages, ou une guitare électrique…? Ou plutôt parce qu’elle est directement inspirée de la culture punk rock ? Punky, c’est la gentille rebelle, et sans doute la plus cool de la bande. Elle leade, Punky. On ne lui dit pas ce qu’elle doit penser. Elle adule Patty Smith, adore Joan Jett, déniche de la musique pointue que personne ne connaît et tu ne la verras jamais sans sa gratte.

Sa meilleure copine, avec qui elle a monté un groupe, c’est Mia. Mia la lookée aux cheveux bicolores, Mia la berlinoise, fan de musique expérimentale et découvreuse de nouveaux lieux underground. Mia au top zébré rose et aux chaussures dorées. Mia et son Synthé!

La star du skate et du hip-hop, c’est Bonnie. C’est la plus optimiste des Kiddoz, toujours heureuse, toujours partante, elle aime ses potes comme pas permis et les autres le lui rendent bien. C’est une véritable pile électrique qui déborde d’énergie, dure à suivre, impossible à égaler en skate ou en roller. Elle fonce, dans tous les sens du terme. C’est probablement la plus casse-cou parmi ses amis, mais certainement la plus balèze techniquement.

Vous voulez lui faire plaisir ? Offrez lui un inédit de Prince, dont elle est archi-Fan. Ou un poster. Ou un vinyle. 

LE garçon, qui court après Mia quand Mia ne lui court pas après, frère taquin mais sympa de Zoé, il est beau, il est sympa, il s’appelle Max. Ses talents de skateur impressionnent, il skatait déjà avant de marcher. Il descend parfois de sa planche pour manger : burger, tacos, pizza, devant un bon film si possible, par exemple les Goonies qu’il a vu 38 fois, ou un bon Indiana Jones. C’est un rêveur, un utopiste, un sensible avec un coeur énorme.

Ce qui compte le plus pour ces jeunes ? Leur bande, leur crew, leur squad, les potes, les amigos, les potos. Personne ne sera laissé en arrière ! Un pour tous et tous pour un !

Zoé, Mia, Max, Bonnie et Punky, les tout premiers Kiddoz d’une longue série à venir sont fabriqués avec amour du détail et du beau jouet. Vous pouvez les suivre sur les réseaux et les rencontrer dans une multitude de boutiques en France, bientôt en Belgique, en Espagne, en Angleterre et bien sûr online ! Vous n’avez plus qu’à choisir la vôtre !

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